Villefranche-de-Panat. Le quine de l’école publique sort le printemps de ses cartons

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  • Le quine avait misé sur le déclin du soleil pour briller.
    Le quine avait misé sur le déclin du soleil pour briller.
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CORRESPONDANT

Heureusement que l’APE a eu la riche idée de programmer ce quine en soirée, à 20 h 30 car, l’après-midi, un soleil parfaitement printanier, en sortant le grand jeu, aurait sûrement contrarié la partie.

Du monde, pas assez quand même, pour soutenir l’école publique du Lac Panatois, la communale comme elle se nommait jadis. Et qui en a vu passer des têtes blondes et brunes dans son grand bâtiment, tout un village, toute une histoire, l’histoire d’un village…

L’école ne compte désormais que 18 élèves mais elle tient bon. Elle est là, bien là. Émeline Mouysset, la directrice, a en charge l’enseignement des élèves de la petite section au CM2. Marion Pailhories et Valérie Jacquart, aides maternelles, secondent l’enseignante et gèrent le repas de midi. Évidemment, ici, comme un peu partout en Aveyron, si des jeunes couples venaient s’installer et vivre là… Alors la seule préoccupation du maire serait de réglementer la circulation des poussettes et ce serait un jeu d’enfant. Mais la partie n’est pas jouée. Le silence rôde dans nos campagnes. Le quine a donc fait des heureux, et des moins heureux. C’est la vie. Et c’est comme ça !

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