Decazeville. Des chefs d’entreprise se retrouvent autour du street art

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  • Lors de la visite des œuvres du festival Mur Murs, après les ateliers à La Strada où Jean-François Galliard, Christian Tieulié et François Marty sont intervenus. Ci-dessus, le groupe devant le Gorille de Jo Di Bona.
    Lors de la visite des œuvres du festival Mur Murs, après les ateliers à La Strada où Jean-François Galliard, Christian Tieulié et François Marty sont intervenus. Ci-dessus, le groupe devant le Gorille de Jo Di Bona.
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Rédaction 12

Le BNI est un groupe composé de professionnels, d’artisans, commerçants et chefs d’entreprise qui apprennent à mieux se connaître mais aussi à développer leurs compétences commerciales en vue d’améliorer leurs résultats et ceux des autres membres du groupe.

La semaine dernière, plus de 90 chefs d’entreprises aveyronnais et cantaliens se sont retrouvés au cinéma La Strada à l’invitation du groupe BNI de Decazeville, dirigé par Lionel Panissal. Ils se sont retrouvés en présence de Jean-François Galliard, président du conseil départemental de l’Aveyron, Christian Tieulié, conseiller départemental Lot-et-Dourdou, François Marty, maire de Decazeville, et vice-président de Decazeville communauté, et Nicolas Viala, du service culturel de Decazeville Communauté, cheville ouvrière du festival Mur Murs de street art de Decazeville. "Nous avions envie de montrer à nos voisins les très belles œuvres qui décorent la ville et donnent un élan hyper-positif depuis quelque temps à notre Bassin, coloré et punchy, de Decazeville", souligne Lionel Panissal, directeur consultant de BNI et par ailleurs gérant de la société Bungalow-pro installée sur le Villefranchois. Le BNI est groupe de professionnels, des artisans, commerçants et chefs d’entreprise, tous bien décidés à faire bouger les lignes afin de développer leur business. Et une devise : "Qui donne reçoit", nantie d’une volonté de solidarité et de confiance entre les différents acteurs. Un concept basé sur la recommandation mutuelle, "Chacun des participants s’engage à apporter des affaires aux membres du réseau, pour recevoir en ricochet le juste retour d’ascenseur dès que l’occasion se présente", renchérit-il.

Trente adhérents au BNI Decazeville

Sur le Bassin decazevillois, plus de 30 chefs d’entreprise de tous bords ont rejoint BNI Decazeville et développement. Des effectifs qui pourraient aller crescendo, "Regardez, affirme Lionel Panissal, ils sont plus de cent à partager notre petit-déjeuner d’affaires, une rencontre hebdomadaire qui leur donne l’opportunité d’élargir leur carnet d’adresses, passage nécessaire pour explorer, et conquérir, de nouveaux marchés prometteurs pour l’avenir".

Le groupe BNI Decazeville et développement a pris son essor en mars dernier, il est structuré en comités de travail où chacune des professions compte un seul représentant, ceci pour éviter les conflits d’intérêts. Dans le département, deux autres groupes sont actifs depuis plus de deux ans : BNI Rodez dynamique aveyronnaise et BNI Villefranche-de-Rouergue en mouvement. Des groupes qui génèrent en moyenne plus de 1 M€ de chiffre d’affaires tous les ans. Au fur et à mesure des réunions hebdomadaires, le jeudi, de 7 heures à 9 heures pour le Bassin, les chefs d’entreprise apprennent à mieux se connaître mais aussi à développer leurs compétences commerciales en vue d’améliorer leurs résultats et ceux des autres membres du groupe. Pour intégrer le groupe BNI, il suffit d’être présenté par l’un des membres du comité.

Le tarif de l’adhésion annuelle est établi à 1 470 € TTC.

Contact : 06 20 89 20 39, lionel.panissal@bni-directeurs.fr

Il y avait foule vendredi soir devant la salle Yves-Roques de Decazeville.

Plusieurs dizaines de personnes e toutes générations ont fait la queue durant de longues minutes pour accéder à leur place.

Car ce soir-là, les stars que le public allait applaudir étaient les jeunes de l’IME de Cransac.

Depuis trois ans, ils répètent inlassablement avec les chanteurs aubinois Les Jumeaux alias Gilles et Jérôme Noël, dans le cadre d’un projet pédagogique avec la direction et l’équipe éducatrice de l’établissement. Déjà, plusieurs concerts ont confirmé le goût de ces adolescents pour l’art vocal et choral. Vendredi soir, les jeunes chanteurs ont interprété une vingtaine de chansons. Nous y reviendrons dans une prochaine édition. / Photo DDM BHSP.

Une troisième édition sur les rails…

Les élus communautaires espèrent que ce musée à ciel ouvert va générer un surcroît de notoriété en misant sur une singularité artistique, accélérer l’économie et créer de l’émulation en cascade.

Le tourisme en particulier doit en bénéficier avec des retombées pour les commerces et les hébergeant. Le Bassin decazevillois, situé entre Rocamadour et Conques, deux aimants touristiques majeurs, pourrait être une étape pour une partie des vacanciers estivaux et des visiteurs hors saison grâce justement à ce parcours d’art urbain unique en Aveyron et dans la région. Il faudra savoir les capter. Le street art est un mouvement artistique contemporain qui se déroule dans l’espace public. Depuis une quarantaine d’années, il est en perpétuelle évolution. Catalogué à ses débuts comme du vandalisme, il a acquis depuis ses lettres de noblesse. Chaque artiste cultive son propre style, c’est ce qui fait le charme d’ailleurs quand plusieurs graffeurs de renom sont réunis dans une même ville, avec une itinérance à découvrir. La durée de vie d’une œuvre est relativement courte, une dizaine d’années en moyenne.

Malgré un concert de louanges et de nombreux retours positifs, ces productions artistiques n’ont pas fait l’unanimité. Quelques personnes ont avancé que “l’argent aurait pu servir à améliorer l’état des routes et des trottoirs”. Rappelons qu’il s’agit d’un budget communautaire spécial, avec seulement 25 % à la charge de la collectivité locale, soit environ 60 000 €. Le restant, soit environ 200 000 € provient de diverses subventions et d’un mécénat d’entreprises.

À cet égard, le projet d’une troisième session de street art est dans les tuyaux pour le mois d’octobre.

Trois entrepreneurs au moins pourraient proposer un mur mobile pour réaliser des fresques. L’aventure continue…

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