Villefranche-de-Panat. Le village de La Besse a vécu trois beaux jours de festivités estivales

Tout à une fin. On mouche les lampions. On coupe le son. On nettoie la friteuse. La petite fête a vécu. Et bien vécu. La Besse avait justement revêtu ses habits de fête en ce premier week-end d’août. Une fête simple, authentique, chaleureuse, fait maison.

Car le village de 180 habitants, situé à seulement 1 km de la cité panatoise, s’évertue à tenir la dragée haute à son "chef-lieu", qui paresse tout en bas, au bord du lac et des routes qui y mènent toutes.

Villefranche-de-Panat est bien sûr le centre administratif, avec la mairie, l’école publique, l’espace culturel, le gymnase, le marché, les gens…

Mais pour ceux qui sont nés à la Besse, ici, on est Bessois avant d’être Panatois.

Et trois jours durant, trois jours de fête, on a revendiqué encore davantage son identité.

On a festoyé à volonté ou à discrétion, avec, c’est selon, un grand quine sous chapiteau, un concours de pétanque, un grand repas soupe au fromage animé par l’orchestre Fabre qui a connu l’affluence des grands soirs…

Toute la journée du dimanche fut animée, avec une exposition de véhicules anciens, la messe, une aubade aux habitants, de la pétanque, toujours, et, encore, pour les "fines gueules", un énième repas sous chapiteau suivi d’un bal animé par "Équinoxe Disco".

En revanche, cette année, pas de vide-greniers comme hâtivement annoncé. Ce qui n’empêchera pas de donner un sincère coup de chapeau aux bénévoles.

Et pour ceux qui désireraient rejoindre la bande des Bessois et fiers de l’être, contacter Justine Fourcadier, en téléphonant au 06 30 82 21 64 ou à l’adresse comitedesfetes.labesse@gmail.com