Sébazac-Concourès. Le transhumanisme : un bienfait ou un danger ?

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  • Marie-Claude Cavagnac, membre d’Itinéraires Découvertes, présentait Alain Gurrera au public.
    Marie-Claude Cavagnac, membre d’Itinéraires Découvertes, présentait Alain Gurrera au public.
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CORRESPONDANT

Alain Gurrera, jeune retraité ingénieur de la DDT était l’invité d’Itinéraires Découvertes pour parler d’un sujet d’actualité "le transhumanisme".

Le conférencier a tenté de démontrer que l’idéologie transhumaniste, très en vogue aujourd’hui et puissamment soutenue par de grandes entreprises telles que Google, Apple, Facebook ou Amazone, appelées les Gafam porte sur des critères tels que vivre en bonne santé, ne pas mourir, profiter plus, vieillir mieux, sortir de sa condition d’humain (permette à l’homme de "s’augmenter", de conquérir l’univers, augmenter les performances). Ils considèrent que l’être humain est un objet comme les autres et qu’on peut le reconcevoir (changer les membres, les organes, le cerveau, pourquoi pas ?)

Ces instances cherchent à mettre en œuvre ce que l’on peut qualifier d’"utopies du post-humain", c’est-à-dire l’avènement de sociétés composées d’individus au-delà de l’humain, d’individus non plus humains mais "augmentés" par la technologie, et dépendant de cette technologie.

Bref, un vaste sujet qui soulève plus de questions qu’il n’apporte de réponses.

Écoutons donc Rabelais lorsqu’il écrit : "Science sans conscience n’est que ruine de l’âme !".

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