Rignac. Activité stoppée pour Un œil sur le passé

Abonnés
  • Les visites du mercredi sont pour l’instant annulées.
    Les visites du mercredi sont pour l’instant annulées.
Publié le
CORRESPONDANT

Retour à la case confinement pour quatre semaines au moins. La Pays doit à nouveau se calfeutrer, limiter ses déplacements au strict nécessaire, parfois se remettre au télétravail. Trois changements par rapport au premier confinement : les établissements scolaires même s’ils doivent davantage se masquer restent ouverts, les salariés peuvent continuer à travailler et dans notre département le port du masque est obligatoire.

Le confinement touche tout le monde. Ainsi, les personnes âgées dites vulnérables se sentent moins visées puisque pendant un temps on annonçait qu’elles seraient confinées.

Si la décision n’a pas été prise officiellement, elle est en réalité effective : les jeunes peuvent aller à l’école, les ouvriers et employés peuvent aller au travail...

Qui restent à la maison ? Les retraités. L’association Un œil sur le passé, constituée d’anciens est directement touchée : "C’est à notre tour de fermer les portes de notre local" a expliqué le président Jean-Louis Clergue qui, au vu de la situation dans le pays, la région et le département a décidé avec son conseil d’administration de faire tout leur possible pour ne pas contribuer à la propagation de ce virus : "C’est ce que nous pouvons faire de mieux afin de préserver notre santé et les soignants en espérant que les commerces et l’économie en général pourront bientôt retrouver des couleurs". Le président a précisé que l’accueil de jour de l’ADMR- L’Éclaircie avait déjà suspendu ses activités dans les locaux de l’association.

De la télé-distraction ?

Tout comme les trois partenaires de l’Udsma impliquées dans la restitution du passé avec l’opération Raconte-moi ton village qui ont dû reporter la première réunion : "Quel dommage" regrette Jean-Louis Clergue qui veut essayer de transformer ce contretemps en opportunité : "On ne se précipite pas et on se donne deux semaines pour essayer de proposer de la télé-distraction puisque la majorité d’entre nous n’est pas concernée par le télétravail."

Affaire à suivre.

Cet article est réservé aux abonnés
Accédez immédiatement à cet article
2 semaines offertes
Voir les commentaires
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?