Marcillac-Vallon. Marcillac : Loïc et Gabriel sont champions de l’Aveyron

  • Loïc Mazars et Gabriel Layrac.
    Loïc Mazars et Gabriel Layrac.
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Centre Presse Aveyron

De 12 à 77 ans, plusieurs générations se côtoient au sein de l’entente Cycliste du Vallon et du Dourdou (ECVD). Le doyen, Michel Robert, est toujours fidèle au poste, d’autant que depuis quelque temps, il a opté pour l’assistance électrique. Quant au plus jeune, Gian-Lucas De Zerbi, il a des jambes de feu et possède déjà un beau palmarès avec notamment un titre de champion de France FSGT pupilles en 2019 et de vice-champion l’année suivante. Deux autres jeunes du club se sont récemment mis en évidence au championnat d’Aveyron Ufolep sur route qui s’est déroulé à Sainte-Radegonde.

Le cadet, Gabriel Layrac, est monté sur la plus haute marche du podium, en s’imposant facilement en puncheur, après s’être échappé en compagnie de trois autres coureurs. Egalement licencié au Guidon decazevillois, Gabriel multiplie les performances en FFC, endossant là aussi le maillot de champion de l’Aveyron. Passionné par le vélo tout en étant sérieux sur le plan scolaire, il espère pouvoir intégrer l’année prochaine la section cyclisme du lycée Pompidou, à Aurillac.

Autre bonne surprise, Loïc Mazars (22 ans) qui a décroché le titre de champion de l’Aveyron Ufolep en troisième catégorie, dans une course où, bizarrerie du règlement, ce n’est pas forcément le vainqueur qui devient champion, mais le premier de ceux qui ont participé à au moins une des trois épreuves précédentes.

Loïc a certes profité de cette singularité, mais cela n’enlève rien à la performance d’un garçon qui récolte les fruits d’un entraînement assidu avec ses copains decazevillois.

La semaine dernière, une vingtaine de cyclotouriste de l’ECVD ont fait une escapade cantalienne de 100 à 160 kilomètres (pour les plus costauds).

Départ matinal de Saint-Simon, pour une boucle de plus de 3 000 mètres de dénivelé empruntant 8 cols (Perthus, Lioran, Meynial, Entremont, Serre,Pas de Peyrol, Néronne et Légal.

Inutile de préciser que le retour par la douce vallée de la Jordanne a été particulièrement apprécié, malgré le thermomètre dont le mercure culminait aux alentours de 32 degrés.

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