Bassin decazevillois : reconnaissance mondiale pour le street art

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  • L’œuvre murale de Ratur a reçu un plébiscite mondial.
    L’œuvre murale de Ratur a reçu un plébiscite mondial. DDM
  • LPVDA (Nicolas Guignard) devant sa fresque qui orne la façade de la Strada.
    LPVDA (Nicolas Guignard) devant sa fresque qui orne la façade de la Strada. DDM - Picasa
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Didier Latapie

Plusieurs œuvres réalisées dans le bassin decazevillois sont plébiscitées par des critiques reconnues mondialement.
 

Le parcours d’art urbain, depuis ses débuts avec MurMurs à Decazeville, s’est enrichi en comptant les fresques réalisées à Cransac, celle de Jokolor au stade du Crouzet à Viviez et celle proche du chevalement du puits de mine de Bourran, produite par Héra. Au total, 29 œuvres sont à découvrir sur notre territoire.
Depuis 2019, les médias et les magazines spécialisés relaient les réalisations qui embellissent le Bassin. Récemment, la fresque de l’artiste Ratur, qui a relooké l’immeuble de Passelaygues de Cransac, a rencontré un succès énorme. Elle est non seulement classée comme l’une des plus belles de l’année 2021 par le site web de référence « street art cities » au niveau mondial, elle apparaît aussi sur le dernier magazine Art Contemporain Urbain 2021 (présentant les meilleurs artistes mondiaux de l’année).
On retrouve la production de Ratur sur les réseaux et sur le précédent n° du magazine de Urban Art où sont d’ailleurs recensées toutes les fresques réalisées dans la cité thermale, incluant le faon d’Héra au chevalement de Bourran.
Même reconnaissance pour l’artiste brésilien L7Matrix, qui a peint sur les murs de l’ancien centre de secours de Cransac. Ses murs ont reçu également un très bon écho médiatique et un relais très important sur les blogs des amateurs de street art. Ce n’est pas tout, Stuart Magazine, autre revue spécialisée, s’est attardé sur l’œuvre singulière de LPVDA, celui qui a poncé le cinéma la Strada, un article s’étalant sur six pages.

Fierté

Autre bonne nouvelle, l’artiste mexicaine Kinmx qui a peint le pignon de l’immeuble des sociétés à Decazeville vient de customiser des emballages de boisson, reproduisant la déesse qui apparaît sur son œuvre murale.
Enfin, la dernière création produite en octobre par les artistes Iwok et Rafat, sur le parking du gymnase à Cransac, a donné un grand plaisir aux nombreuses personnes venues la découvrir, et une grande fierté au service culture de Decazeville communauté et à la mairie de Cransac qui mettent ainsi en lumière deux artistes aveyronnais de qualité. Le parcours street art s’agrandit, continuant de ravir les habitants du bassin decazevillois et les gens de passage.

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