Onet-le-Château : de nouveaux aménagements extérieurs et des jardins partagés à la cité du Stade

Situés à proximité de la résidence "Les Manguiers" en cours de rénovation, les jardins des Manguiers ont été imaginés en réponse à un appel à projet de l’État, pour lequel l’Office a été lauréat, dans le cadre du plan de relance.

À l’occasion de la remise officielle des clefs et des jardins aux locataires, les voisins ont été invités à un temps de partage et de convivialité (il y avait même un château gonflable pour les plus petits et une dégustation de glaces en guise de goûter), tout en proposant aux élus et partenaires : la mairie d’Onet-le-Château, Rodez-Agglo, l’État, les associations… une visite des aménagements réalisés, dont le coût total s’élève à 86 785 €.

Les jardins partagés des Manguiers, ce sont d’abord une quinzaine de jardins de 50 m2 en moyenne. Ce sont aussi des bancs, des tables de convivialité, des composteurs, une citerne d’eau, des jardinières et pour la première fois dans l’histoire de l’Office… des tables d’échec !

Ce projet prévoyait aussi la plantation de végétaux pour faire de ce site un îlot de verdure en zone urbaine. Ainsi 40 arbres, essentiellement des fruitiers (cerisiers, pommiers, poiriers, mirabelliers), mais aussi des tilleuls, des arbustes et près de 300 plantes vivaces parsèment désormais le secteur.

Ces nouveaux vergers donneront des centaines de fruits chaque année aux habitants du quartier.

"L’objectif affiché est bien de poser un regard différent sur les habitations de ce quartier", "Ce sera du mieux vivre ensemble, de l’intergénérationnel et du pédagogique, un lieu de partages et d’échanges : on sème, on plante, on entretient, on récolte…", "Parallèlement des animations et des initiations seront mises en place par la LPO et le CPIE", diront les partenaires, les uns après les autres.

Et pour tous, cette démarche est bien la volonté partagée de régénérer le quartier des Quatre Saisons, une volonté que cette belle journée ensoleillée a magnifiée "C’est un beau havre de paix. Aux habitants, désormais de se l’approprier et de le faire vivre…".