Rignac : le parc de la Peyrade retrouve vie

  • De la verdure, de la jeunesse, des pêcheurs, des promeneurs…
    De la verdure, de la jeunesse, des pêcheurs, des promeneurs…
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Centre Presse Aveyron

Entre pêche, balade et jeux pour les enfants, cet écrin de verdure est plébiscité des Rignacois.
 

Certaines journées de ces vacances de Pâques n’ont pas été très printanières. Par contre d’autres ont bénéficié d’un temps pratiquement estival. Les enfants en vacances ne s’y sont pas trompés en s’adonnant dans ce bel écrin de verdure à un de leurs loisirs préférés : la pêche. D’autres ont eu une activité plus violente en investissant les courts de tennis pour taper la petite balle jaune. Le petit jardin des jeux est envahi par des tout-petits sous l’œil vigilant des parents.

Les premiers vacanciers du camping municipal et de la résidence du Hameau Odalys ont été rejoints par les promeneurs locaux pour arpenter le plan d’eau. À peine troublé par cette animation, le cygne n’est désormais plus seul : un compagnon (ou une compagne) lui a été attribué. En remontant vers la piscine, à la faveur d’une petite retenue du ruisseau, ils ont découvert, érigée par le jardinier municipal une roue à aubes entraînant, à l’aide d’un chaîne, une roue de bicyclette. De l’autre côté de la route menant au Caussanel, quelques cris de jeunes tapant dans le ballon sur le City stade étaient audibles tandis que par petits groupes certains s’essayaient aux divers éléments du parcours de santé, d’autres prenaient connaissance de l’exposition sur la châtaigne. La verdure des sentiers qui épousent les méandres du ruisseau était recouverte par d’innombrables pâquerettes blanches, des boutons d’or, des fleurs de pissenlits.

Après la route qui descend depuis la gendarmerie, le silence est juste brisé par le clapotis de l’eau du ruisseau Pouzol prouvant que, depuis les dernières pluies il a retrouvé un débit à peu près normal. Les moins fatigués pouvaient poursuivre leur balade par la zone humide et ombragée de Maymac avant d’arriver aux jardins familiaux que certains locataires ont déjà travaillés.

La balade pouvait se terminer par le passage devant une mare où coassaient grenouilles et crapauds en quête d’amour. Un véritable havre de paix. Mais malheureusement, tout le monde n’a pas cette chance !

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