Espalion : le square Marie-Rose-Pesteil inauguré à Recoules

  • Éric Picard rend hommage à Marie-Rose Pesteil, en présence de Laure de Guerny.
    Éric Picard rend hommage à Marie-Rose Pesteil, en présence de Laure de Guerny.
  • La plaque au nom de Marie-Rose Pesteil est dévoilée.
    La plaque au nom de Marie-Rose Pesteil est dévoilée.
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Centre Presse Aveyron

Un terrain ombragé, un toboggan, un tourniquet, une balançoire, un nid d’oiseau, un petit train : l’aire de jeu clôturée de la cité de Recoules a été inaugurée en début de semaine.

L’aire de jeux de Recoules, porte le nom de Marie-Rose-Pesteil, en hommage à cette Espalionnaise, disparue il y a un peu plus d’un an.

Le maire Éric Picard, entouré de nombreux adjoints, et des responsables des services techniques a tenu à lui rendre hommage, en présence de Gilbert Cayron ancien maire et Pierrette Michel.

"Au cours de sa vie, Mme Pesteil a continuellement accompagné, avec conviction, tous les projets portés par les municipalités successives, au sein du centre communal d’action sociale et de l’association générale des familles où elle était force de proposition, mais aussi à travers ses participations généreuses en direction de la petite enfance, du pôle enfance, avec la création de la première crèche avenue d’Estaing, à l’espace Bessière, et jusqu’au plateau de la Gare. Femme de cœur, empreinte d’humanisme, d’une grande humilité, et d’une simplicité remarquable, elle a souhaité poursuivre cette action en direction des enfants, concrétisée par la création de cette aire, afin d’être au plus près des familles et des enfants."

Laure De Guerny, nièce de Mme Pesteil, entourée de sa famille, a remercié Éric Picard, Claudine Bussetti et le conseil municipal et a rappelé le soutien de sa tante "aux activités du CCAS qu’elle a si longtemps soutenu et auquel elle a participé à la demande de Gilbert Cayron et de son père qu’elle tenait en haute estime, aux côtés de Pierrette Michel. Des Noëls aux activités sociales, elle a passé toute sa vie, en toute discrétion, à soutenir des actions au service des plus fragiles, comme l’avaient fait avant elle sa cousine Marguerite Affortit et son époux Alexandre Bessière".

L’heure était venue de dévoiler la plaque en hommage à la bienfaitrice.

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