Rugby : les entreprises poussent derrière le club de Rodez
Comme l’avait déjà fait le Sporting decazevillois, le Rodez rugby a lancé son club entreprises en fin de semaine dernière : la Mêlée ruthénoise.
Jeudi 13 octobre, le Rodez rugby lançait son club entreprises : la Mêlée ruthénoise, qui entérine une belle poussée collective. Ce sont deux anciens joueurs sang et or, aujourd’hui aux commandes de sociétés florissantes sur le Piton, qui sont à l’origine de ce nouveau venu dans le giron du rugby ruthénois.
Au Bowling du Rouergue, Thomas Lacombe (Orpi) et Franck Moysset (SBS Solutions) n’étaient pas peu fiers de lancer l’association en grande pompe avec trois invités d’honneur : Rodrigo Capó Ortega, ancien capitaine du Castres Olympique, Michel Giacomini, ancien responsable du centre de formation du CO, et Julien Rueda, responsable du développement dans le club tarnais.
Ce club entreprises n’est pas sans rappeler celui du Sporting club decazevillois et Promoval, qui a été précurseur dans ce domaine. Sous la houlette d’un certain Jean-Luc Delaneau, le premier président du club entreprises du Bassin et aujourd’hui trésorier du Rodez rugby.
"Proposer des événements très loin des stades et des crampons"
Cette nouvelle association est vouée à aider financièrement le club de rugby ruthénois et se veut également une passerelle entre les entreprises, qui deviendront partenaires comme le souligne Thomas Lacombe : "Pour certaines entreprises qui vont nous rejoindre le sport et notamment le rugby n’a pas, à la base, un fort intérêt. Cela dit, les valeurs sont assez similaires, c’est pour ça que, si le rugby est au centre du projet, nous souhaitons également que la Mêlée ruthénoise soit un lieu où l’on ne va pas parler que de rugby et ainsi proposer des évènements très loin des stades et des crampons."
Les deux créateurs de la structure ne se veulent pas exhaustifs. "Toutes les entreprises qui souhaitent nous rejoindre sont les bienvenues. Il n’y aura ni petit, ni grand partenaire. Ce qui est important, c’est de créer un réseau qui répondra à l’attente du club mais également aux besoins de ces partenaires locaux", reprend Franck Moysset.
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