Les Aveyronnais de Toulouse ont encore transformé l’essai au stade Ernest-Wallon

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  • Plus de cent convives se sont retrouvé à Ernest-Wallon autour du Bouclier de Brennus pour l’acte 6 des retrouvailles des Aveyronnais de Toulouse.
    Plus de cent convives se sont retrouvé à Ernest-Wallon autour du Bouclier de Brennus pour l’acte 6 des retrouvailles des Aveyronnais de Toulouse. Florence At
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Rui DOS SANTOS

Plus de cent personnes ont ainsi répondu à l’invitation et ont profité d’une soirée, autour du Bouclier de Brennus, à la brasserie du Stade toulousain rugby. Le rouge et le noir étaient les couleurs d’actualité pour des retrouvailles qui feront date. Le rendez-vous est pris pour janvier 2024...

Après, notamment, la brasserie Les Chimères de la Réquistanaise Manon Laur, dans le quartier Saint-Cyprien, et le Café Authié du Villefranchois Olivier Guinou, place Dupuy (près de La halle aux grains), c’est à la brasserie du Stade toulousain, au stade Ernest-Wallon, que le rendez-vous était fixé. Un... 12 au soir bien entendu !

Les drôles de dames, Savannah Grimal, Virginie Granier, Marjorie Dalbin, Laurence Destruel et Christina Durand ont ainsi orchestré les retrouvailles des Aveyronnais de Toulouse, avec le précieux soutien d’Aveyron WorldWide, le réseau d’expatriés créé en 2014 par Christophe Palous et Stéphane Rouquette, et de l’Amicale des Aveyronnais de Toulouse et de Haute-Garonne.

Elles ont pu compter aussi sur l’étroite collaboration de Jean-Louis Cazes. Directeur de la société De ma part (développement, marketing et partenariat), le Morlhonnais est bien introduit au sein du club ovale de la Ville rose. Grâce à lui, et à sa relation avec le président du Stade, Didier Lacroix, le Bouclier de Brennus, le vrai, a passé la soirée avec les convives.

Jean-Louis Cazes a eu la surprise de voir arriver Yves Causse, son premier entraîneur de rugby, à Villefranche-de-Rouergue, en 1977.  L’ancien 3e ligne, agent des deux internationales françaises de beach-volley, Alexia Richard et Lézana Placette, n’a pas oublié : "Il a patiemment essayé de me transmettre des bases techniques, avant d’admettre que ma place légitime était au fond du bus !".

La présence de nouvelles têtes

Alors que la barre des cent participants a été tutoyée à plusieurs reprises, elle a été franchie cette fois-ci. Ce sont, en effet, 106 convives qui ont répondu à l’invitation. "On peut dire que l’essai a été transformé, se réjouit Savannah Grimal, figure de proue de l’organisation. Il y a le lieu bien sûr, emblématique, qui explique cette belle fréquentation, mais je crois, également, que la communication a joué. Sans oublier le bouche à oreille qui a porté ses fruits".

Elle a apprécié, "particulièrement", "la présence de nouvelles têtes". "Il y a, bien évidemment, le cercle fort, note l’intéressée. Mais, on constate un renouvellement de l’assistance. Et un fort rajeunissement. Avec toujours une belle variété au niveau des secteurs d’activité". Elle conclut, avec un clin d’œil au Stade toulousain et au rugby : "On a trouvé la bonne composition ! Les participants apprécient cet esprit d’équipe, ancré dans les valeurs. Le sport est très fédérateur".

Visiblement, ces retrouvailles ont de beaux jours devant elles. La prochaine édition est ainsi envisagée pour le mois de janvier, avec déjà quelques idées. "On imagine une thématique un peu loufoque, confirme Savannah Grimal. Dans le genre "Les bronzés font du ski". On va peaufiner tout ça...". Certains piaffent d’impatience.

Une troisième mi-temps pour déguster des vins

Présente à cette "Aveyronnade", comme elle l’a souvent été sur les précédentes, tout en étant fidèle des "repas du jeudi" du mois d’août à Rodez, Cécile Laur propose "une troisième mi-temps", mercredi 25 octobre. Ce soir-là, à 19 heures, au Citron bleu, rue des Paradoux à Toulouse, elle servira le Wineday.

Passée par l’école nationale supérieure de chimie et de physique de Bordeaux, spécialisée en œnologie et maîtrise du vin, elle organise ainsi une dégustation d’une trentaine de vins de sa sélection Oenorama, que cette ingénieur de formation, longtemps enseignante, a créé en 2015 pour vivre de sa passion.

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