Rihanna : sexe, cannabis, arme et argent, elle assume tout

Rihanna est furieuse ! L'objet de sa colère : un article paru dans le DailyMail, où une journaliste dresse un portrait peu flatteur de la chanteuse : trop sexy, glorifiant les drogues et les armes... Liz Jones regrette que Riri soit un si mauvais exemple pour ses jeunes fans. La concernée n'a pas tardé à répliquer sur Twitter.

Liz Jones, initialement journaliste de mode, tient une rubrique intimiste intitulée Liz Jones' diary dans le Daily Mail où elle aborde des sujets qui lui tiennent à cœur - du genre Pourquoi j'en fais toujours trop avec les hommes. Elle écrit également des articles au vitriol sur la mode et les stars comme peut l'illustrer le post La nouvelle collection de Victoria Beckham déchire tout... pour une fillette de 5 ans.

Et hier, sa cible était Rihanna... En cause, les dernières photos que la belle a posté sur son compte Instagram : à Amsterdam, on la voit rouler des joints énormes, et fumer du cannabis dans sa chambre d’hôtel. La chanteuse n'hésite pas à accoler à ces clichés le hashtag #legalizeit (en français : légalisez-le).

Une provocation qui vient grossir un cv de bad girl déjà bien rempli selon Liz Jones... La journaliste revient sur les nombreux excès de la bad girl, dont l'Instragram est révélateur : parterre de billets, poses ultra sexy, apologie des armes, drogues et alcools à gogo, et déclarations d'amour à Chris Brown, qui l'a violemment battue. Un exemple toxique pour ses fans, dont certains sont très jeunes, déclare Liz Jones. Rihanna n'a pas tardé à répondre à ce post assassin.

Sur Twitter, la Princesse de la Barbade a attaqué la journaliste sur la teneur de ses papiers : "Si vous tenez vraiment à aider les jeunes filles, je vous donne un conseil toxique : arrêtez l'amateurisme journalistique. Vous semblez bien amère... Et puis parlons de vos articles : coiffure, manucure, mode et tatouage ? Rien d'intelligent là-dedans ! Ce n'est pas du journalisme, juste les délires bâclés d'une femme perturbée par sa ménopause."

Rihanna s'est ensuite défendue de vouloir être un modèle pour qui que ce soit : "Personne n'est parfait, je n'ai jamais prétendu être comme vous tous. Je vis juste ma vie, et je ne comprends pas que mon comportement étonne encore qui que ce soit. Je ne veux pas être un modèle, et je n'ai jamais dit seulement vouloir l'être. Je suis juste moi, qualifiez cela comme bon vous semble... Dire que je suis toxique, je trouve ça mignon... Et m'appeler la Princesse Vénéneuse de la Pop, c'est juste un peu exagéré..."

Enfin, la star a enfoncé le clou en pointant une erreur journalistique de l'article : "PS : ma première couv de la version américaine de Vogue, c'était en 2011... en AVRIL !"

 

Alors ? Qui veut écrire un article taclant Rihanna ?

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Source : People Looks