La traque du tigre va reprendre, des policiers devant les écoles

  • Le lieutenant Robert Picaud face à la presse le 13 novembre 2014 à Montevrain
    Le lieutenant Robert Picaud face à la presse le 13 novembre 2014 à Montevrain AFP - Matthieu Alexandre
  • Photo prise par une passante à Montévrain, près de Paris, sur laquelle on distingue un tigre en liberté, le 13 novembre 2014
    Photo prise par une passante à Montévrain, près de Paris, sur laquelle on distingue un tigre en liberté, le 13 novembre 2014 AFP - Julie Berdeaux
  • Un policier monte la garde le 13 novembre 2014 dans une rue de Montevrain
    Un policier monte la garde le 13 novembre 2014 dans une rue de Montevrain AFP - Matthieu Alexandre
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Centre Presse Aveyron

Les opérations de recherche pour tenter de capturer un tigre en liberté, aperçu jeudi matin en Seine-et-Marne mais introuvable depuis, s'apprêtaient à reprendre vendredi matin, a constaté une journaliste de l'AFP.

Des policiers, gendarmes et une dizaine de militaires du Centre national des sports de la défense (CNSD) de Fontainebleau étaient stationnés peu avant 7H00 sur le parking du supermarché de Montévrain, où le tigre a été aperçu jeudi matin par une riveraine, dans l'attente d'instructions en vue de la reprise des recherches.

Un hélicoptère équipé d'une caméra thermique continuait à tournoyer au-dessus de la zone de recherche, vaste comme quatre à cinq stades de football, à quelques dizaines de kilomètres à l'est de Paris.

"Les battues terrestres vont reprendre à partir de 7H00 avec le renfort de militaires. L'hélicoptère a tourné une partie de la nuit mais les recherches n'ont encore rien donné", a indiqué à l'AFP une source préfectorale. "Toujours rien sur l'origine" du fauve, a ajouté cette source.

Comme la veille, consigne a été donnée aux habitants des communes de Montévrain, Chessy et Chalifert (77) de privilégier les déplacements en voiture et d'éviter les zones boisées.

Des effectifs de police seront déployés autour des écoles avant l'heure du début des cours, à 8H30, a précisé la source préfectorale.

Les recherches, qui avaient été interrompues jeudi à la nuit, ont mobilisé plus d'une centaine d'hommes depuis vingt-quatre heures: policiers, gendarmes, pompiers, équipes spécialisées et même un chien d'ours de Carélie, canidé spécialisé dans la chasse à l'ours et au gros gibier.

Source : AFP

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