Villefranche dans le guide des «100 plus beaux détours...»

La bastide de Villefranche dévoile ses trésors architecturaux (22 monuments inscrits ou classés «historiques»), gastronomiques et événementiels dans de la 17e édition du guide des «100 plus beaux détours de France» dont un des partenaires est l’illustre Michelin.

Imprimé à 212 000 exemplaires, cet ouvrage -gratuit et disponible à l’office de tourisme ainsi que chez les hôteliers- est ainsi le premier consacré au tourisme national par sa diffusion. Il offre l’occasion de retrouver ou de découvrir des villes (obligatoirement de 2000 à 20000 habitants) qui font le charme et la diversité du tourisme, le plus souvent hors des sentiers battus, recélant un important potentiel de développement. Villefranche y côtoie aussi bien Figeac (Lot) et Gaillac (Tarn), pour les plus proches, que Saint-Laurent-du-Maroni (Guyane) ou Pont-Aven (Finistère).

Un label supplémentaire

Hier, lors de la présentation du guide, élus (ce sont eux qui réalisé la démarche pour monter le dossier) et membres de l’office de tourisme ont dit tout le bien qu’ils pensaient de ce coup de pouce qui dure depuis une dizaine d’années. «C’est une chance de faire partie de cet ouvrage, a confié Prakash Mulji-Solanki, adjoint en charge du développement commercial touristique. Rien de tel pour la promotion de la bastide.» 

Et pour y parvenir, aussi bien la mairie que l’OT se sont pliés à un audit commandé par l’association «Les plus beaux détours de France» avant de jouer les guides pour un expert indépendant de Michelin qui n’a rien laissé au hasard (nombre de chambres d’hôtes, de gîtes, de locations meubles, d’emplacements en camping, d’hôtels, de restaurants...).

«C’est une reconnaissance pour la cité, a glissé Jean Javelaud, président de l’office de tourisme. Et c’est un label de plus (Grand Site de Midi-Pyrénées, Ville et Pays d’art et d’histoire...), ce qui est une excellente chose pour l’attrait touristique.» Et le premier adjoint Laurent Tranier de conclure de façon positive : «Le tourisme, c’est de l’économie et de l’emploi pour le territoire.»