Villefranche : une nouvelle arrivée dans la pépinière d’entreprises

  • Emilie Merlet a détaillé son activité aux élus du Villefranchois.
    Emilie Merlet a détaillé son activité aux élus du Villefranchois. PJC
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Économie. Depuis le 1er septembre, la pépinière d’entreprises du Villefranchois «Interactis» accueille une nouvelle venue : Disegno l’Atelier, spécialisée en dessin de bâtiment, dirigée par la Capdenacoise Émilie Merlet.

Depuis sa création en 2012, la pépinière d’entreprises «Interactis», de la communauté de communes du Villefranchois a déjà étudié huit candidatures. Un certain nombre d’entre elles sont déjà parties de la structure pour s’installer ailleurs et voler de leurs propres ailes. Début septembre, une septième entreprise vient de faire son entrée au sein de la structure de développement économique de la Communauté de communes du Villefranchois. Il s’agit de la société Disegno l’Atelier, dirigée par la Capdenacoise, originaire de Bordeaux, Émilie Merlet. 

«Mon activité consiste en deux parties. D’une part le dessin en bâtiment, intégrant un travail d’élaboration de plans, de modélisation, en passant par les permis de construire et autorisations, métrage et étude de prix. En sous-traitance pour les professionnels et pour les projets de particuliers, sans maîtrise d’œuvre et pour une surface inférieure à 170 m². D’autre part, je collabore en tant que formatrice à la Fédération compagnonique de Toulouse pour transmettre un savoir en matière de construction», explique Émilie Merlet.

«Être accompagnée»

«Mon choix d’intégrer la pépinière d’entreprises du Villefranchois s’est fait simplement car je souhaitais être accompagnée dans mon projet de développement. Auparavant, je travaillais à domicile, et ce n’est pas idéal pour se projeter professionnellement. Et en 2013, j’étais déjà en relation avec la pépinière pour affiner mon projet» dit-elle. Un choix du bassin d’activité du Villefranchois qui n’est pas pour déplaire au président de la CCV, Patrice Couronne. «En étant à Capdenac, d’autres structures s’offraient à Mme Merlet, plus proche du Grand Figeac. Je suis ravi de son choix», lâche-t-il. 

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