Marcillac lance ce week-end la saison des rallyes en Aveyron

Côté sportif, si Jean-Michel Da Cunha, qui vient, au volant de sa Mitsubishi, de prendre la 3^e place du rallye de l’Hérault, viendra chercher un 9^e titre après ceux obtenus en 2006, 2007, 2009, 2010, 2011, 2013, 2014 et 2015, il aura fort à faire avec sa 208 T16 R5. Car parmi les 142 engagés de cette 19e édition du rallye du Vallon de Marcillac, ils ne sont pas moins d’une dizaine d’équipages à pouvoir prétendre à la plus haute marche du podium. À commencer par les pilotes de R5 tel le Sudiste Anthony Pupo sur Skoda Fabia R5, de même que le couple toulousain Anne et Christian De Boussac sur Skoda R5 également. Autre pilote de R5, Lionel Espinasse, qui vient de Labege avec une 208 T16 alors que l’Aveyronnais Jean-Laurent Chivaydel pilotera une Fiesta R5. Il ne faudra pas oublier les locaux de l’étape, Christophe et Jérôme Sichi, qui seront au départ au volant de la même 207 S2000 que la saison passée ; ni le Corse Thomas Argenti qui n’a pas fait le voyage avec sa Skoda Fabia S2000 pour faire de la figuration.

On peut également ajouter à la liste des prétendants le Lotois Mickaël Lobry et sa Mitsubishi Evo 10 R4 vainqueur ici même en 2015 ou Julien Marty, l’autre Lotois, sur Mitsubishi Evo 9.

Si les spéciales du jour (Leguens et Saint Georges-Goutrens) à parcourir deux fois, restent les mêmes ; celles du dimanche (Noailhac et Pruines-Pont de Mouret) à parcourir trois fois sont rallongées de quelques kilomètres portant ainsi la longueur totale de l’épreuve à 157,700 km. Rallongée d’un kilomètre, celle de Noailhac se voit tout de même amputée du passage dans Noilhac, un souhait unanime de la municipalité qui ne bénéficiait d’aucune retombée commerciale. Quant à celle de Pruines-Pont de Mouret, la plus longue, elle revient à son ancienne configuration soit 25 km au lieu de 20.