Rignac. L’année 2020 (enfin) dans le rétro

Le traditionnel abécédaire relatait les événements marquants de l’année écoulée. L’activité ayant été réduite, c’est un abécédaire en rapport avec la situation actuelle que nous livrons.

A comme l’absence de lien social avec toutes les associations en sommeil et les activités annulées ou les attestations de déplacement dérogatoire.

B comme les bars qui sont encore fermés.

C, la lettre-clé de l’année 2020 avec le coronavirus, la covid 19, le confinement, le couvre-feu, les consignes sanitaires.

D comme le déconfinement, la distanciation sociale, les ventes en drive qui se sont créées.

E comme encore un autre confinement en 2021 ?

F comme la fermeture de nombreux établissements ou faut respecter les consignes sanitaires.

G comme garder ses distances.

H comme les heures de sorties autorisées, les horaires du couvre-feu à respecter.

I comme les infirmières et infirmiers qui travaillent sans relâche au chevet des malades.

J comme jusqu’à quand cette situation ?

K comme le karaté, le kung-fu, le kubodu, ces arts martiaux asiatiques stoppés comme les autres sports de salle.

L comme les loisirs collectifs dont la population est privée.

M comme les masques à porter pour se préserver et préserver les autres ou les marchés qui ont été maintenus.

N comme Noël qui a pu se fêter grâce à la levée du couvre-feu.

O comme l’ouverture de certains magasins et structures alors que d’autres restent fermés.

P comme cette pandémie qui paralyse le monde entier.

Q comme quand pourrons-nous vivre librement ?

R comme les restaurants qui sont eux aussi fermés ou les restrictions sanitaires.

S comme les soins prodigués par le personnel médical.

T comme les transports en urgence de malades vers des lieux moins encombrés.

U comme l’urgence de la situation dans certaines régions de France.

V comme ce satané virus, comme les vaccins très attendus.

W comme des wagons réfrigérés qui pourraient acheminer les vaccins.

X comme cette inconnue à la base de la propagation du virus.

Y comme y a qu’à prendre son mal en patience.

Z comme z’ai fini car z’ai plus rien à écrire…