Notre sélection de bandes dessinées

  • Notre sélection de bandes dessinées. Notre sélection de bandes dessinées.
    Notre sélection de bandes dessinées. - DARP-HORS COLL
  • Notre sélection de bandes dessinées. Notre sélection de bandes dessinées.
    Notre sélection de bandes dessinées.
  • Notre sélection de bandes dessinées. Notre sélection de bandes dessinées.
    Notre sélection de bandes dessinées.
  • Notre sélection de bandes dessinées. Notre sélection de bandes dessinées.
    Notre sélection de bandes dessinées.
  • Notre sélection de bandes dessinées.
    Notre sélection de bandes dessinées.
  • Notre sélection de bandes dessinées.
    Notre sélection de bandes dessinées.
Publié le
RICHAUD Guilhem

.

Un biologiste et un dessinateur tentent d’expliquer l’extinction des espèces

Comment expliquer les risques du réchauffement climatique ? Comment mesurer l’extinction d’une espèce ? C’est à un sujet particulièrement d’actualité que s’attaquent le biologiste Jean-Baptiste de Panafieu et le dessinateur Alexandre Franc qui viennent de publier "Extinctions, le crépuscule des espèces", chez Dargaud. Habitué à cet exercice, le scientifique, spécialiste de la vulgarisation, a déjà travaillé sur les océans, les insectes, les comportements animaux et la Préhistoire. Cette fois, pour évoquer le sujet de la sixième extinction de masse des espèces à laquelle fait actuellement face l’humanité, il a choisi de scénariser le reportage de deux journalistes, Emma et Luis, qui suivent, sur une île de l’océan Arctique une équipe scientifique qui étudie le risque mortel que fait peser le réchauffement climatique sur la faune et la flore. L’occasion d’expliquer comment des espèces entières sont-elles amenées à disparaître, mais aussi de revenir sur les cinq premières extinctions de masse. "Extinctions, le crépuscule des espèces", Jean-Baptiste de Panafieu et Alexandre Franc, chez Dargaud, 19,99 €.

L’histoire de Toulouse en bande dessinée

Au début du XIXe siècle, alors que Napoléon et ses troupes tentent de soumettre l’Europe de l’Est, un artiste autrichien, refuse de se soumettre. Il s’agit de Beethoven. Dans un roman graphique paru chez La Boîte à bulles, Régis Penet dresse le portrait de l’immense compositeur qui, alors que son pays était occupé, a refusé de jouer pour les commandants français lors d’un dîner officiel. Un geste symbolique pour refuser la soumission face aux "serviteurs de la tyrannie".

"Beethoven – Le prix de la liberté", de Régis Penet, chez la Boîte à bulles, 22 €.

Beethoven, l’Autrichien qui refuse de se soumettre à la France

En 2019, les éditions Petit à Petit publiaient "Toulouse en BD – De Tolosa au Pays de Cocagne", le premier tome d’une série retraçant l’histoire de la Ville rose. Le second volet paru en ce mois de mai s’étire de la période des guerres de religions à l’époque moderne avec la création de la cité de l’espace. La recherche documentaire a été assurée par Béatrice Merdrignac, le scénario par Gaëts et les dessins de cet ouvrage collectif sont l’œuvre de Claude Pelet, Didier Ray, Grégory Saint-Félix, Vincent Maklès, Auleeve, Manu Cassier, Nicolas Balas, Thomas Balard, Weissengel et Benjamin Blasco-Martinez.

"Toulouse – Des guerres de religions à la Cité de l’espace", ouvrage collectif, chez les éditions Petit à Petit, 16,90 €

Les espionnes à la retraite racontent leurs histoires

C’est un monde très difficile à infiltrer. Pourtant, la journaliste Chloé Aeberhardt, à force d’abnégation, a réussi à publier début mai, après plusieurs années d’enquêtes, "Les espionnes racontent", un roman graphique qui détaille l’histoire de plusieurs femmes ayant exercé dans différents services de renseignement. Entre Paris, Washington, Moscou et Tel-Aviv, elle a retrouvé la trace des espionnes des principaux services de renseignement engagés dans la guerre froide. Ces retraités de la CIA, du KGB, du MI5, de la DST ou du Mossad l’ont reçue chez elles et lui ont raconté le rôle décisif qu’elles ont joué dans la deuxième moitié du XXe siècle. C’est Aurélie Pollet qui s’est chargée de mettre ces histoires en images.

"Les espionnes racontent", de Chloé Aeberhardt et Aurélie Pollet, chez Steinkis, 20 €.

Voir les commentaires
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?