Onet-le-Château. Onet à l’épreuve du froid

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  • Le gel sur une partie du stade d’Honneur est dû à son manque d’exposition au soleil.
    Le gel sur une partie du stade d’Honneur est dû à son manque d’exposition au soleil. JLB
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Centre Presse

La pelouse de la Roque était en partie gelée, samedi, lors du nul entre les Castonétois et Balma (1-1).

C’est un problème récurrent depuis un an. Si la saison dernière, il avait été décidé que les joueurs de Yoan Boscus migrent vers le terrain synthétique voisin à plusieurs reprises en raison du gel, ils ne l’ont pas encore fait cet hiver.

Ce week-end, la rencontre des Castonétois, qui ont plutôt l’habitude de jouer le dimanche, avait lieu samedi à 17 heures, au stade d’Honneur, pour différentes raisons. C’est donc sous un temps printanier qu’ont évolué les locaux. Mais à la surprise générale, et ce malgré les 12 °C affichés au thermomètre au coup d’envoi, la partie du terrain étant à l’ombre à cause de la tribune était totalement gelée. Soit une bande d’environ 60 mètres de long sur 10 de large. Seules les zones proches des deux points de corner étaient dans un état correct.

L’arbitre a tout de même maintenu la rencontre. Les vingt-deux acteurs ont donc dû faire avec, et cela ne semblait pas facile. Une impression confirmée par la difficulté de ceux-ci à trouver leurs appuis, pour ne pas glisser dans cette zone. Le bruit des courses sur la terre gelée était impressionnant depuis la tribune. D’ailleurs, à deux reprises, le milieu offensif aveyronnais, Axel Deplace, a bien failli en subir les conséquences en sauvant un ballon qui allait sortir en touche… n’ayant dû son salut qu’à la main courante pour ne pas partir en vrille.

Il est difficile d’imaginer que ce problème ne disparaisse sans que rien ne soit fait. Pourtant, il le faudrait bien, puisque ce dimanche, les protégés de Boscus accueilleront Beaucaire en match en retard. Une opposition déjà reportée à deux reprises ces dernières semaines. Donc cette fois, il n’y a plus le choix : la rencontre devra impérativement se jouer, car la Ligue n’autorise à reporter un match que deux fois. S’il n’est pas possible de jouer à la troisième tentative, le club doit trouver un terrain de repli. Alors au stade d’Honneur ou sur le synthétique ce dimanche ?

C’est un problème récurrent depuis un an. Si la saison dernière, il avait été décidé que les joueurs de Yoan Boscus migrent vers le terrain synthétique voisin à plusieurs reprises en raison du gel, ils ne l’ont pas encore fait cet hiver.

Ce week-end, la rencontre des Castonétois, qui ont plutôt l’habitude de jouer le dimanche, avait lieu samedi à 17 heures, au stade d’Honneur, pour différentes raisons. C’est donc sous un temps printanier qu’ont évolué les locaux. Mais à la surprise générale, et ce malgré les 12 °C affichés au thermomètre au coup d’envoi, la partie du terrain étant à l’ombre à cause de la tribune était totalement gelée. Soit une bande d’environ 60 mètres de long sur 10 de large. Seules les zones proches des deux points de corner étaient dans un état correct.

L’arbitre a tout de même maintenu la rencontre. Les vingt-deux acteurs ont donc dû faire avec, et cela ne semblait pas facile. Une impression confirmée par la difficulté de ceux-ci à trouver leurs appuis, pour ne pas glisser dans cette zone. Le bruit des courses sur la terre gelée était impressionnant depuis la tribune. D’ailleurs, à deux reprises, le milieu offensif aveyronnais, Axel Deplace, a bien failli en subir les conséquences en sauvant un ballon qui allait sortir en touche… n’ayant dû son salut qu’à la main courante pour ne pas partir en vrille.

Il est difficile d’imaginer que ce problème ne disparaisse sans que rien ne soit fait. Pourtant, il le faudrait bien, puisque ce dimanche, les protégés de Boscus accueilleront Beaucaire en match en retard. Une opposition déjà reportée à deux reprises ces dernières semaines. Donc cette fois, il n’y a plus le choix : la rencontre devra impérativement se jouer, car la Ligue n’autorise à reporter un match que deux fois. S’il n’est pas possible de jouer à la troisième tentative, le club doit trouver un terrain de repli. Alors au stade d’Honneur ou sur le synthétique ce dimanche ?

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