Les Aveyronnais de Toulouse : l'acte VII des retrouvailles toulousaines servies sur un plateau chez la Réquistanaise Manon Laur

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  • Plus de 80 personnes ont pris plaisir à se retrouver lors de l’acte 7 des soirées toulousaines entre Aveyronnais, aux Chimères, chez Manon Laur.
    Plus de 80 personnes ont pris plaisir à se retrouver lors de l’acte 7 des soirées toulousaines entre Aveyronnais, aux Chimères, chez Manon Laur. L'Aveyronnais - Rui Dos Santos
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A Toulouse, Rui Dos Santos

L’acte sept de ces soirées estampillées "12" a été servi aux Chimères, chez la Réquistanaise Manon Laur, à Toulouse, avec 80 personnes qui ont aimé "parler du pays". En particulier de la journée du 17 août, dans un buron, pour souffler les bougies du dixième anniversaire du groupe Aveyron WorldWide.

Après, notamment, le Café Authié, à deux reprises, et la brasserie du Stade toulousain au stade Ernest-Wallon, avec le Bouclier de Brennus comme témoin privilégié, c’est le restaurant Les Chimères, dans le quartier Saint-Cyprien, qui a accueilli, pour la troisième fois, les retrouvailles des Aveyronnais de Toulouse. L’acte sept a donc élu domicile chez la Réquistanaise Manon Laur.

Troisième fois aux Chimères

Si le record de 106 personnes, établi dans la Mecque de l’ovale, n’a pas été battu, plus de 80 convives ont toutefois répondu à l’invitation du Girl power : Marjorie Dalbin, Virginie Granier, Savannah Grimal, Christina Durand et Laurence Destruel.

Avec la participation de Loïc Ferrieu, jeune successeur de cette dernière à la présidence de l’amicale des Aveyronnais de Toulouse et de Haute-Garonne, cette belle "Aveyronnade" a été marquée, en particulier, par la présence de nouvelles têtes. Près de la moitié des effectifs ! Le bouche-à-oreille fonctionne...

Avant le rendez-vous de l'été sur l'Aubrac

Deux autres soirées devraient avoir lieu cette année dans la Ville rose, probablement courant juin et au cours de l’automne. Alors que le Café Authié, place Dupuy, tout près de la Halle aux grains, tient la corde pour un troisième service (gagnant) dans le plus vieux établissement toulousain (le maître des lieux, Olivier Guinou, prend part aux fêtes chez les autres), l’ultime rendez-vous de l’année pourrait avoir lieu au sein d’une nouvelle adresse... Un hôtel aveyronnais peut-être ?

Les dix ans d'Aveyron WorldWide

Mobilisées pour ces différentes retrouvailles, les cinq drôles de dames ont été sollicitées pour prêter main forte aux deux piliers d’Aveyron WorldWide qui veulent marquer d’une pierre blanche le 10e anniversaire de la création de ce réseau, en août 2014, à la terrasse d’un café à Rodez.

Autour d’un buron, samedi 17 août

Tandis que son fidèle compère Christophe Palous était dans un avion en direction du Japon, orchestrant une mission de la CCI Occitanie, où il en a profité pour organiser un repas entre Aveyronnais (ceux de la délégation et les expatriés), Stéphane Rouquette a participé aux retrouvailles aux Chimères.

Un baptême d’ailleurs pour lui puisque, selon ses propres termes, "Je n’avais jamais eu la chance de pouvoir être présent". Il n’a pas regretté le déplacement ! Et il en a profité pour livrer quelques précieuses informations sur l’événement imaginé pour célébrer les dix ans, tout en laissant place à un brin de mystère.

"Comptant plus de 2 300 membres, dans 65 pays, sur les cinq continents, ce réseau prendra de la hauteur avec, samedi 17 août, une journée familiale sur l’Aubrac, autour d’un buron, situé entre Laguiole et Nasbinals, a-t-il annoncé. On prévoit des randonnées, des visites, avec la découverte de produits, gastronomiques et touristiques, qui font la notoriété du département au-delà de ses frontières, et les enfants seront les bienvenus avec des jeux adaptés". Les inscriptions seront bientôt ouvertes...

"Du coup, les traditionnels "repas du jeudi soir du mois d’août" à Rodez sont exceptionnellement annulés", a-t-il précisé. En attendant, des agapes sont en préparation, par exemple, à Bruxelles, avec l’infatigable Delphine Palissot comme chef d’orchestre, mais également du côté de Montréal.

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