Eleveurs et acheteurs doivent trouver de nouveaux marchés
Pour les éleveurs et acheteurs associés (Elvea) du nord de Midi-Pyrénées et de la Lozère, le défi est désormais «de trouver et de consolider de nouveaux marchés à l’exportation», car des pays traditionnellement clients des produits français comme l’Italie, «ne sont plus vraiment porteurs». Jean-Paul Boyer, vice-président du groupement, dénonce également «les coûts incompressibles des exploitants qui pèsent de plus en plus sur notre activité».
Selon lui, même si «les exploitants doivent aussi se remettre en question, il est aujourd’hui difficile pour les éleveurs de vivre de leur métier. Les marges sont très faibles». Malgré tout, lors de la dernière assemblée générale de l’Elvea, les éleveurs et producteurs ont pu constater que le cheptel était légèrement en hausse. Ce sont près de 25
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