Bœufs gras. De belles enchères sans envolée à Baraqueville

  • «Nous sommes là devant l’excellence, et le hors-norme en terme de prix», convient un boucher venu participer aux enchères.
    «Nous sommes là devant l’excellence, et le hors-norme en terme de prix», convient un boucher venu participer aux enchères. José A. Torres
  • Bœufs gras. De belles enchères sans envolée à Baraqueville
    Bœufs gras. De belles enchères sans envolée à Baraqueville José A. Torres
  • Bœufs gras. De belles enchères sans envolée à Baraqueville Bœufs gras. De belles enchères sans envolée à Baraqueville
    Bœufs gras. De belles enchères sans envolée à Baraqueville José A. Torres
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    Bœufs gras. De belles enchères sans envolée à Baraqueville José A. Torres
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    Bœufs gras. De belles enchères sans envolée à Baraqueville José A. Torres
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    Bœufs gras. De belles enchères sans envolée à Baraqueville José A. Torres
  • Bœufs gras. De belles enchères sans envolée à Baraqueville
    Bœufs gras. De belles enchères sans envolée à Baraqueville José A. Torres
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RB

La 18e édition des bœufs gras de pâques a débuté vendredi avec le concours national.

Si à 16,80€ le kilo, la meilleure enchère de l’édition 2015 du concours baraquevillois des bœufs gras de Pâques a bien été égalée, hier après-midi, on est, en revanche, très loin du record de 25,80€ le kilo, établi en 2014 au même endroit.

«Le contexte était alors bien différent», se souvient Bernard Guibbaud, qui officie au micro depuis 11 ans en tant que commissaire-priseur de la vente aux enchères.

«Mais aujourd’hui, malgré la crise qui touche la filière, les éleveurs continuent de faire de gros efforts pour nous présenter de magnifiques bêtes. On ne peut que saluer leur travail», ajoute celui qui est également technicien-commercial au GIE Liredoc.

Bouchers bredouilles

«Nous sommes là devant l’excellence, et le hors-norme en terme de prix», convient un boucher venu participer aux enchères. «Il y a près de 450 bêtes ici. Elles sont toutes magnifiques et un grand nombre d’entre elles mériteraient de monter sur le podium. Il n’y a qu’à voir le temps qu’a mis le jury à désigner les lauréats. C’était serré. Pourtant, hormis les cinq bœufs primés vendus aux alentours de 13€ le kilo, le reste des animaux s’est négocié à des prix bien en deça.»

Habitué du rendez-vous où il tente toujours d’acquérir l’un des lauréats du concours, Claude Azémar, le boucher de Rodez, n’a cette fois rien pu faire face aux autres acheteurs, en général, des représentants de grandes enseignes nationales. Ainsi, la Limousine Grand prix du concours, partie à 16,80€, a été acquise par le représentant du Carrefour Market de Bram, dans l’Aude.

L’aubrac et la blonde d’Aquitaine (13,60€) ont été achetées par un négociant de Perpignan. La charolaise (12,20€) a été achetée par le centre Leclerc de Millau. Mais à Baraqueville l’honneur est sauf, car au moins un des lauréats sera consommé sur place. Il s’agit de la croisée, vendue à 13,20€ et acquise par Fabrice Delnaud, le directeur du Carrefour market de Baraqueville. 

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