Decazeville. Retour sur l’Aveyronnaise classic
Le passage de l’Aveyronnaise Classic a animé Decazeville durant deux jours. Car, au-delà des 520 concurrents, il faut au moins doubler
le nombre de personnes présentes pour l’assistance des motards.
Sans compter que des clubs envoient plusieurs concurrents avec des supporters comme le club du Périgord (Dordogne) dont les supportrices habillées en orange encourageaient leurs protégés à chaque tour. Cela dit, on sent que les participants à ce genre d’épreuves sont bien rodés. Ils installent rapidement leur "QG" (tentes, abris de toiles, etc.), les pilotes étant prêts à faire vrombir les moteurs. À la fin des spéciales, motards et mécanos s’activent pour nettoyer les machines, les régler, éventuellement les réparer pour la course suivante.
Les pilotes et supporters ont été agréablement surpris par le site de la Découverte : "C’est rare d’avoir un coup d’œil sur presque tout le parcours car on a souvent à faire à des sous-bois ou bien à des champs étendus. Ce site est intéressant, avec des passages délicats. Par contre, c’est délicat pour les petites cylindrées vu certaines pentes abruptes".
Claude Rachas, doyen des pilotes du haut de 71 printemps est satisfait : il a terminé à la 384e place, "Je suis heureux car il y a eu près de 80 abandons et mes collègues (320e et 362e places) et moi avons réussi à terminer la course, c’était notre premier objectif", souligne le co-président du Moto club de Boisse-Penchot, club organisateur.
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