La Fouillade. La sous-préfète en visite

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  • La sous-préfète Pascale Rodrigo avec les élus Fouilladais sur "le chemin des écoliers".
    La sous-préfète Pascale Rodrigo avec les élus Fouilladais sur "le chemin des écoliers".
Publié le
Marie-Hélène REGOURD

Mi-octobre, c’était avant l’acte 2 du confinement. La sous-préfète de Villefranche-de-Rouergue, Pascale Rodrigo était l’hôte du maire Dominique Rigal et de ses adjoints afin de faire un point sur les dossiers communaux.

Après une présentation de la commune et de ses spécificités à l’hôtel de ville, c’est sur le terrain que furent détaillés, à la représentante de l’État, projets et concrétisations. Après un passage à la cantine, qui permit au maire de rappeler que ce service sert 280 repas par jour en période scolaire, celui-ci revint sur "le coût de la centralité" incombant à la collectivité locale que ce soit pour la cantine, mais aussi les terrains de sport et la future maison de santé. "Pour une commune de 1 000 habitats, treize salariés, dont quatre pour la cantine, c’est beaucoup", détailla-t-il en espérant "trouver des clefs de répartition pour faire face aux surcoûts de fonctionnement."

Il fut question aussi du projet de bourg-centre soutenu par la Région en lien, pour certains projets avec la commune voisine de Najac, pour le projet de "voie verte" qui reliera les deux villages et le réaménagement d’une salle communale sur le plateau. Projet Cœur de village, avec l’aménagement du RD39 en traverse, Maison France Service, lotissement qui bénéficie d’une forte demande, furent d’autres points abordés… "Nous devons trouver un équilibre entre la zone d’activités et le cœur du village" a soutenu Dominique Rigal, en revenant sur le fait que plusieurs démarches mettent en avant la nécessité de revenir vers les centres des villes ou des villages pour y réimplanter des commerces. "En gros, résuma-t-il, les commerces ne pourront s’installer sur une zone d’activités que s’il n’y a plus de place pour eux en cœur de village", Sur le terrain, la sous-préfète a pu découvrir "le chemin des écoliers", aménagé cet été pour sécuriser les déplacements des enfants de l’école publique vers la cantine, ou encore l’ancienne école privée Saint-Jean-Baptiste acquise par la commune dans le but d’y implanter une maison des associations.

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