Bozouls. Le préfet en visite au centre de tri des Établissements Braley

  • Les élus et Christian Braley au côté du préfet.
    Les élus et Christian Braley au côté du préfet.
  • Une viste très technique sur la chaine de tri.
    Une viste très technique sur la chaine de tri.
  • La propreté est de mise dans ce centre de Bozouls
    La propreté est de mise dans ce centre de Bozouls
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CORRESPONDANT

Mercredi dernier le préfet Charles Giusti s’est rendu sur le centre de tri de Christian Braley où il a été accueilli par le chef d’entreprise. Le nouveau centre ultra moderne reconstruit depuis les deux incendies de 2016 et 2017 sur la zone des Calsades de la cité, est doté d’équipements à la pointe de la nouvelle technologie avec les nouvelles normes de sécurité en vigueur à ce jour.

Pendant près de deux heures, c’est à pied que le préfet entouré d’élus (es) Jean-Claude Anglars (sénateur), Florence Cayla du Sydom accompagné de la directrice de la structure, Jean-Louis Rames 1er adjoint de la municipalité de Bozouls, représentant Jean-Luc Calmelly maire excusé, ainsi que le député Stéphane Mazars, a parcouru le site. Une visite très technique qui a fortement intéressé le représentant de l’Etat. L’originalité et l’efficacité du process tient dans son organisation : après le calibrage des matériaux est positionné un crible aéraulique 3 fractions, qui permet de séparer les hyper-lourds et la fraction légère. Puis les fractions sont triées en vue de la valorisation matière grâce aux robots, trieurs optiques qui extraient le bois B.

Les flux résiduels sont spécifiquement triés pour extraire les produits au pouvoir calorifique dirigé vers les filières énergie (CSR). Les machines sont réglables selon la typologie du déchet entrant et le cahier des charges attendu à la sortie.

La ligne LMF2 a la possibilité de prendre en charge et de traiter les refus de tri de collecte sélectives du Sydom.

L’ensemble des visiteurs ont pu constater l’exemplarité de l’installation et de l’innovation technologique mise en place, notamment les efforts de sécurisation par rapport au risque d’incendie et les mesures garantissant la continuité de l’activité même en cas de sinistre et par l’ergonomie des postes réduisant la pénibilité et les risques de maladies professionnelles liées aux troubles musculosquelettiques.

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