Villefranche-de-Rouergue. Un internat tout neuf au sein même de l’établissement

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  • 56 places dans l’internat ont été construites lors de ce gros projet qui a coûté 2,2 millions d’euros.
    56 places dans l’internat ont été construites lors de ce gros projet qui a coûté 2,2 millions d’euros.
  • L’équipe du lycée et les partenaires de cette opération de rénovation.
    L’équipe du lycée et les partenaires de cette opération de rénovation.
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Centre Presse

Cette semaine, le nouvel internat du lycée privé Saint-Joseph a été inauguré. Un des chantiers du gros projet de réhabilitation de l’établissement qui a commencé en 2018.

Les chambres ont l’air confort et le bâtiment moderne", se réjouit un parent d’élève de Terminale STMG. "Je suis content d’avoir vu son lit. C’est mieux qu’à Graves et au moins il a tout sur place."

Le lycée privé Saint-Joseph a inauguré son internat, devant de nombreux élus, personnels, chefs d’entreprise et parents d’élèves. "Le calendrier a été respecté in extremis", s’amuse Gérard Grès, président du conseil d’administration. "C’est un énorme projet lancé il y a cinq ans. Le premier objectif était de désamianter les salles de classe et le reste des bâtiments. On a souhaité rénover le gymnase, les salles de laboratoire, faire une extension du parking et installer un nouvel internat."

Coût : 2,2 millions d’euros

Le total est de 2,2 millions d’euros pour cet énorme chantier, lancé en juillet 2022, après quatre années de recherche de fonds (400 000 euros de la Région) et une trentaine de réunions pour structurer le projet. D’ailleurs, les travaux seront terminés avant la fin du mois. Auparavant, les élèves dormaient au château de Graves et étaient transportés en bus au lycée. Le contrat de bail pour cet internat prenait d’ailleurs fin dans deux semaines.

56 places dans l’internat

Depuis le 6 novembre, les lycéens ont pris leur quartier dans le nouveau bâtiment tout neuf. Au total, 56 places sont à disposition, dont deux chambres avec accès à personne à mobilité réduite.

"C’est un projet qui nous a demandé une extrême rigueur en termes de sécurité. C’est le résultat d’un travail collectif avec des entreprises locales", lance le directeur Christophe Reynaud. Les dernières constructions dataient de 1992 pour la mise en place du lycée hôtelier. "Ce n’était pas un cadeau, mais on est heureux d’en venir à bout ", a-t-il été conclu.

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