Vézins-de-Lévézou. Après une vie de labeur, Jean Blanc s’en est allé

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  • Jean Blanc.
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CORRESPONDANT

Jean Blanc avait quitté sa maison de Vezins depuis deux ans pour aller vivre chez sa fille à Castelnau-de-Mandailles, son état de santé ne lui permettant plus de rester seul. Malgré toute la robustesse que nous lui connaissions, son état de santé s’est rapidement détérioré ces derniers mois. Hospitalisé pendant une courte période, il n’a pu lutter plus longtemps. Il a été inhumé mercredi 28 février au cimetière de Vezins, auprès de son épouse.

Jean Blanc est né le 17 août 1940 à Curan.

Dès l’âge de 15 ans, comme beaucoup de jeunes de son âge en milieu rural, il travaille dans les fermes alentour. Après les 24 mois passés en Algérie, il arrive à la ferme de Vezins où il restera salarié agricole pendant une trentaine d’années. Là il a rencontré Fernande Ayrinhac qui deviendra son épouse en 1964 et tous deux s’installent dans le village. À la retraite, Jean Blanc profite de sa passion, le jardinage mais n’arrive pas vraiment à lâcher prise sur le travail qui a été partie intégrante de sa vie. C’est cette image de travailleur insatiable qu’il laisse aux villageois. À ses enfants Gisèle et Daniel, ses petits-enfants, ses proches, nous présentons nos plus sincères condoléances.

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