La Primaube. Loïc Artino, de la biologie au mannequinat

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    La Primaube. Loïc Artino, de la biologie au mannequinat @ericvergeron
  • Le Primaubois de retour dans la maison familiale après six mois passés à Québec.
    Le Primaubois de retour dans la maison familiale après six mois passés à Québec. CP
Publié le
E.L.C

Mode. Parti suivre des études de biologie au Canada, le jeune Primaubois a été repéré par un agent et entame en parallèle une carrière de mannequin à Montréal.

Une gueule d’ange et une tête bien pleine. Le Primaubois Loïc Artino, 18 ans depuis peu, arrive tout juste du Québec où il vient de passer six mois. Cet étudiant en biologie se passionne pour l’immunologie et... la mode. Et c’est à Montréal justement qu’il vient d’entamer une carrière de mannequin.

«Après mon bac S au lycée Foch, à Rodez, j’ai eu envie de me rapprocher des États-Unis où j’aimerais travailler», raconte le jeune homme. «Montréal était une bonne approche car on y parle à la fois anglais et français», précise-t-il. Son bac en poche, il entreprend les démarches pour partir étudier au Canada. Trop content d’«aller vivre tout seul dans un pays inconnu sur un autre continent», s’enthousiasme-t-il.

Arrive le grand départ, accompagné de ses parents dans un premier temps. Puis vient le temps de «la totale autonomie». Il apprend à vivre loin de sa famille et s’enhardit peu à peu. À Montréal, il se plaît à «rencontrer des gens accueillants qui parlent la même langue et qui ont pourtant une culture si différente», ce qui contribue à son ouverture.

La Primaube. Loïc Artino, de la biologie au mannequinat
La Primaube. Loïc Artino, de la biologie au mannequinat @ericvergeron

«Un gros tournant»

Puis vient une rencontre déterminante avec un éditeur londonien de magazines de mode. Le jeune Aveyronnais lui parle de sa passion pour la mode. L’éditeur le met en relation avec un agent. Bingo ! Les photos de Loïc lui tapent dans l’œil. Commence alors une série de castings, de défilés et de «shootings», comme il appelle ses séances photos. «J’ai eu la chance de découvrir le milieu de la mode qui m’attirait sans que je le connaisse vraiment. J’ai pris confiance en moi et... j’ai beaucoup amélioré mon anglais !», sourit-il. «J’ai adoré l’atmosphère unique de la préparation des défilés et des essayages», ajoute le jeune homme. 

Un projet de blog

Mais pas question de laisser tomber la biologie pour autant. L’étudiant se fixe comme objectif d’obtenir un Master (bac +5, NDLR). Tout en gardant un pied dans la mode. «Je n’arriverai pas à m’en passer, c’est vraiment ma passion. J’envisage d’ailleurs d’ouvrir un blog en anglais et français sur le sujet», confie-t-il. Un projet qui a déjà bien avancé. En attendant, Loïc Artino prévoit de rentrer à Montréal au mois d’août, «pour profiter des nombreux festivals qui y sont organisés». Après avoir goûté un repos bien mérité dans la maison familiale de La Primaube. 

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