Le directeur de la Banque de France vante la "solidité" et la "régularité" de l'économie aveyronnaise

  • Guilhem Blanchin, directeur départemental de la Banque de France, rassurant sur les perspectives économiques des entreprises aveyronnaises pour 2019.
    Guilhem Blanchin, directeur départemental de la Banque de France, rassurant sur les perspectives économiques des entreprises aveyronnaises pour 2019. CPA
  • Près de 150 personnes étaient réunies dans l'amphithéâtre de la CCI de Rodez.
    Près de 150 personnes étaient réunies dans l'amphithéâtre de la CCI de Rodez. CPA
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Centre Presse Aveyron

Mardi 19 février dans l'amphithéâtre de la CCI, Guilhem Blanchin a présenté les résultats et perspectives des entreprises aveyronnaises, évoquant un secteur "toujours tonique et actif".

"Les trois grands secteurs de l'industrie, des services et de la construction ont connu en 2018 des volumes un peu inférieur à ceux de 2017 mais sont toujours toniques et actifs. Concernant les prévisions pour 2019, les chefs d'entreprises aveyronnais n'ont pas de craintes. Solidité et régularité sont les mots qui ont défini l'activité économique aveyronnaise en 2018".

Devant près de 150 personnes dont des banquiers, élus, lycéens de Foch ou étudiants de l'EGC, le directeur départemental de la Banque de France a présenté mardi les bilans et perspectives des entreprises d'Occitanie et d'Aveyron. Si la Banque de France ne diffuse pas les chiffres départementaux, son directeur départemental a néanmoins évoqué les principales tendances : "L'Aveyron évolue sur le même tempo avec une croissance qui est toujours là, un peu moins vive qu'en 2017. Mais le département affiche toujours un socle économique solide, étayé par ses valeurs traditionnelles : celle du travail et de la capacité à entreprendre, avec détermination mais vigilance. La solidité financière est à ce prix, et elle reste bien présente", a-t-il expliqué.

Du côté de l'Occitanie, l'économie reste "vigoureuse" et ce pour la troisième année consécutive". "Certes, l'amplitude se réduit dans les rythmes de croissance, de façon programmée (aéronautique) ou subie (automobile). Cette tonicité s'est répercutée positivement sur l'investissement. Les marges se tendent un peu et les difficultés de recrutement perdurent toutefois", affirme la Banque de France.

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