Villefranche-de-Rouergue. Villefranche : la place des Pères et la rue de la Tour-de-Polier inaugurées

  • Place des Pères et rue de la Tour-de-Polier refaites à neuf.
    Place des Pères et rue de la Tour-de-Polier refaites à neuf. Repro CPA
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GDM

Après quatre mois de travaux, ces lieux du centre-ville ont été inaugurés hier par le maire, Serge Roques, et son équipe.

 

La rue de la Tour-de-Polier, marquant l’entrée piétonne en cœur de ville (face au cinéma), à partir du boulevard Charles-de-Gaulle (dont la réfection est prévue avant l’été), et qui mène à la place des Pères, a reçu, hier, la visite du maire de la ville afin de signifier la fin des travaux de rénovation de ce quartier qui ont duré quatre mois.

Entouré d’une partie de son équipe et en présence d’un responsable d’Eurovia, Serges Roques a tenu à souligner l’exemplarité du partenariat public-privé efficace sur ce chantier au profit des habitants de ce secteur et des parents d’élèves de l’école de la Sainte-Famille (dont l’entrée se fait par la rue de la Tour-de-Polier) qui peuvent ainsi déposer leurs enfants en voiture place des Pères, grâce à six places de stationnement (dont une pour handicapé) et un petit giratoire devant l’église Saint-Joseph. Cette même église place des Pères (qui fut en 1779 le siège du Parlement de Haute-Guyenne et dont le projet est d’abriter la crèche départementale) sera également mise en valeur avec des projecteurs léchant sa façade. Des réverbères style XIXe siècle et un arbre agrémenteront cette place qui sera donc mieux éclairée et végétalisée. Un souhait des habitants qui ont aussi voulu conserver en son centre une croix pèlerine. "Cet aménagement répond aux besoins des habitants et rentre dans le cadre de la mise en valeur du centre-ville d’un lieu patrimonial", a déclaré Serge Roques en inaugurant la place de manière informelle. "Cela permet aussi de rendre la ville plus agréable et de favoriser la circulation douce et piétonne", ajoute le premier édile. En effet, au sol, de larges dalles et des pavés sciés, flammés (afin d’en supprimer les aspérités) en porphyre d’Italie, et d’ailleurs posés par les ouvriers italiens d’une entreprise du Cantal.

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