Rodez. Les amicalistes à la baguette : "Notre souhait est de faire toujours mieux !"

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  • Robert Moiroux (à gauche), en 2018, coupe le ruban de la 19e édition en compagnie des forces vives de la FNA12. AD
    Robert Moiroux (à gauche), en 2018, coupe le ruban de la 19e édition en compagnie des forces vives de la FNA12. AD Centre Presse - Auréllien Delbouis
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Christophe Cathala

Depuis le mois de mars, ils œuvrent au bon déroulement de cette "grande fête de la qualité aveyronnaise." Robert Moiroux et Philippe Picou nous ouvrent les coulisses du rendez-vous qui réunit plus de 60 000 personnes à Bercy.

Bientôt vingt ans que ça dure. Avec toujours la même efficacité ! Depuis les premiers pas du Marché des Pays de l’Aveyron, en 2000, de l’eau a coulé sous les ponts. L’habitude a remplacé l’inexpérience des premières éditions mais l’enthousiasme est toujours au rendez-vous. "Je dirais qu’on a été inconscients, naïfs et un peu fous", se souvient Gérard Paloc, président de la Fédération nationale des amicales aveyronnaises, à l’évocation des premières éditions. Lancé le 15 octobre 2000 avec 53 exposants, le marché héberge aujourd’hui 95 stands. De la bien nommée rue de l’Aubrac à celle de la nativité, de l’allée Gabriel Lamé à la place Lachambeaudie, ils viennent présenter à un public conquis, le meilleur de ce qui se fait en Aveyron. Une vitrine de choix, évidemment très profitable, à mettre au crédit de la Fédération des amicales de l’Aveyron (FNA12) qui s’attache depuis deux décennies, à accueillir de la meilleure des façons, le "département du 12 dans le 12e arrondissement".

Fidélité récompensée

"Nous sommes désormais très bien rodés", souligne Robert Moiroux, coprésident de la fédération, à la manœuvre avec Philippe Picou depuis presque un an, pour que tout soit "parfaitement au point."

Avec leur armée de bénévoles, une soixantaine pour les trois jours que dure la manifestation, ils œuvrent depuis plusieurs mois. "On sollicite les exposants au mois de mars. À la mi-avril, on reçoit ensuite tous les dossiers d’inscription". Vient ensuite l’heure de la sélection. "Nous nous réunissons avec les chambres consulaires pour sélectionner définitivement les participants", précise le coprésident. Et bien évidemment, il y a plus de candidats que d’élus : "Le périmètre n’est pas extensible", mesure le coprésident. "Nous devons pallier d’éventuels désistements mais nous privilégions toujours les exposants qui étaient déjà des nôtres l’année précédente. Beaucoup nous accompagnent depuis le début."

"Nous prenons également soin à varier les plaisirs, poursuit Philippe Picou, pour que le marché ne soit pas qu’un seul marché alimentaire". Autorisation de la Ville de Paris en poche, vient enfin l’heure de la promotion, le savoir-faire n’étant rien sans le faire savoir. "Nous éditons et distribuons 150 000 sets de tables, des flyers dans près de 300 adresses, des bars, cafés, brasseries à Paris." Une dernière étape avant le montage final et l’électrification du site par "le prestataire historique" de l’événement, qui annonce le top départ de ce grand rendez-vous de la qualité aveyronnaise qui séduit plus de 60 0000 visiteurs chaque année.

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