Aveyron : Léo Garrel et Magali Sérieys à l’écoute du canton Lot et Truyère

  • Léo Garrel et Magali Sérieys briguent le mandant de conseillers départementaux.
    Léo Garrel et Magali Sérieys briguent le mandant de conseillers départementaux.
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Centre Presse Aveyron

Un troisième binôme composé de Léo Garrel et Magali Sérieys est candidat aux élections départementales des 20 et 27 juin sur le canton Lot et Truyère.

Après Jean-Claude Anglars et Francine Lafon, Éric Picard et Nathalie Couseran, un nouveau tandem briguera les suffrages des électeurs. Il est formé par Léo Garrel, 35 ans, informaticien, bénévole en milieu associatif, domicilié à Espalion et Magali Sérieys, 35 ans également, en réinsertion sociale et professionnelle, demeurant à Entraygues. Leurs suppléants sont Michel Poudevigne commerçant retraité à Espalion et Élise Ulm, professeur d’EPS, domiciliée au Cayrol.

Dans le cadre du "Printemps Aveyronnais", union des quatre partis de gauche : Europe Écologie les Verts, le Parti Socialiste, le Parti Communiste et la France Insoumise, ils entendent porter une action forte avec un projet cohérent dans le département. "Une vision différente de la démocratie, qui vise à revitaliser le canton, participer plus activement, développer les services de proximité, agir sur la protection des personnes fragilisées, par une approche différente, basée sur la solidarité, le soutien à l’emploi, la transition énergétique en développant les circuits courts et les productions locales. Une mission menée dans l’intérêt de tous et qui laisse la place au renouvellement. Une candidature citoyenne, à l’inverse des professionnels de la politique".

Démocratie

Leur campagne s’articule autour "d’une consultation démocratique au plus proche des habitants". Une consultation en ligne, sous forme d’enquête, permettra à chacun d’exprimer ses attentes, ses souhaits, ses besoins. En parallèle, ils iront sur les marchés à la rencontre des gens afin de mieux connaître leurs besoins, leur vision de l’avenir du canton. Le cas échéant, si la situation sanitaire le permet, ils tiendront quelques réunions publiques.

"Il est temps de redonner de la grandeur à l’exercice d’un mandat, de retrouver le sens d’une mission menée dans l’intérêt de tous. Plutôt qu’une gestion centralisée de l’aide sociale, nous préférons des permanences dans nos communes, un soutien fort aux actions des centres sociaux, formidable outil au service des habitants. Nous préférons accorder plus de moyens au médico-social pour une prise en charge qualitative des personnes âgées ou en situation de handicap. Faisons le choix de se diriger vers un département plus juste, plus solidaire qui se donne l’ambition d’aller vers un territoire sans chômage subi".

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