Justice : le tribunal de Cahors relaxe un footballeur du Monastère
Au printemps dernier, des faits qui se sont produits sur le terrain de football de Druelle lors de la rencontre de Coupe de France entre les locaux et Le Monastère le 22 août 2020 se sont retrouvés à être examinés par le tribunal de Cahors. Lequel a relaxé le prévenu, un jeune attaquant monastérien.
Il avait été visé par une plainte déposée après le match par l’arbitre, pour « violence sur une personne chargée de mission de service public suivie d’incapacité n’excédant pas 8 jours lors d’une manifestation sportive ». Pour rappel, la commission de discipline de la ligue Occitanie – organisatrice de la partie – lui avait infligé quelques semaines après les faits une lourde sanction sportive : cinq ans de suspension. « Sur ce qu’il a fait, la sanction est normale, expliquait à l’époque Christian Naquet, président délégué de ladite commission. C’est une peine intermédiaire. Les plus lourdes sanctions peuvent aller jusqu’à la suspension à vie. »
Aujourd’hui, et à la lumière du jugement rendu par le tribunal de Cahors, le FC Monastère, par la voix de son président, veut faire entendre que son joueur a été « injustement accusé de violences et reconnu innocent ». Et ainsi voir, notamment, sa sanction sportive être allégée.
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