Anglars-Saint-Félix. 50 ans de foot : la grande équipe des débuts

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  • Photo des champions de deuxième division saison 77/78 (debout) GuyRouquette – Francis Ginestet – Didier Arrazat – Régis Loubatières –Elisée Viguié – Jean Marc Falguières – (assis) Raymond Pérez – JacquesGuarrigues – Jean Claude Roques – Alain Herman – Jean Claude Bastide –Patrick Rouquette.
    Photo des champions de deuxième division saison 77/78 (debout) GuyRouquette – Francis Ginestet – Didier Arrazat – Régis Loubatières –Elisée Viguié – Jean Marc Falguières – (assis) Raymond Pérez – JacquesGuarrigues – Jean Claude Roques – Alain Herman – Jean Claude Bastide –Patrick Rouquette.
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CORRESPONDANT

Après sa création en 1972, le club va se renforcer avec la venue de joueurs de la commune et quelques-uns d’ailleurs ayant pratiqué dans d’autres clubs. Une réserve sera créée et l’équipe première va monter en puissance. En 1976, elle termine à la troisième place de sa poule de 3e division.

Trois montées en trois ans

La saison suivante, la seconde place de la poule permet la montée en deuxième division, avec également la meilleure attaque (65 buts marqués et 29 encaissés). Saison 77/78, l’équipe termine à la première place de sa poule avec une nouvelle fois la meilleure attaque (64 marqués et 29 encaissés) et va pouvoir disputer les phases finales et remporter ainsi son premier titre.

Après s’être débarrassé de Flavin en demi-finale, la finale les oppose à Laissac, invaincu jusque-là. Le match sera gagné par le plus petit des scores, grâce au but de Patrick Rouquette. À noter également le fair-play de cette équipe qui n’a reçu qu’un seul avertissement en trois saisons. La même année, à signaler la bonne forme de l’équipe réserve qui atteint les quarts de finale de la coupe des réserves.

La saison suivante, c’est toujours l’euphorie au sein de l’équipe qui se permet de terminer à la deuxième place de sa poule de promotion de première division et d’accéder ainsi à la première division. Soit la troisième montée en trois ans.

Pour sa première saison à ce niveau, en 79/80, elle y décroche l’honorable quatrième place de sa poule. Il semble que le capitaine de l’époque, Jean Claude Bastide, a été à son niveau un peu comme le Guy Roux des débuts d’Auxerre.

(À suivre).

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