Saint Geniez d'Olt et d'Aubrac. La confrérie de la St-Éloi a fêté son saint

  • La confrérie de la St Éloi.
    La confrérie de la St Éloi.
  • Les anciens et les nouveaux bayles (au centre)
    Les anciens et les nouveaux bayles (au centre)
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CORRESPONDANT

Ce samedi 6 novembre, jour de la traditionnelle fête de la St-Éloi, les orfèvres, joailliers, maréchaux-ferrants, mécaniciens, chauffeurs, mécaniciens de l’armée de l’Air et du Matériel, fêtent leur saint patron. C’est donc ce soir-là, que la corporation de la St-Éloi du canton a répondu à l’invitation des bailles de l’année, Raphaël Bach et Maxime Vaylet. Ils leur ont donné rendez-vous au bar du centre autour d’un appétitif, et ont poursuivi la soirée en partageant un excellent repas au restaurant chez Rose à St-Martin-de-Lenne, au cours duquel les deux bailles 2021-2022, Benjamin Bertrand et Loïc Frayssignes ont été élus. Qui est Saint Éloi ? Il est né vers 588 près de Limoges dans une famille relativement aisée qui possède des domaines et des mines d’or dans le sud-ouest de la France. Ses parents le placent en apprentissage chez un orfèvre réputé, Abbon, qui fabriquait la monnaie. Il vient à Paris et entre au service de l’orfèvre Bobbon, chargé par Clotaire II, alors roi des Francs, de fabriquer un trône en or.

Il est désigné pour répondre à cette demande et est remarqué par Clotaire, qui séduit par la qualité de son art et surtout son honnêteté. Il occupera la fonction de ministre des Finances auprès de Dagobert 1er, jusqu’à sa mort, le 1er décembre 659.

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