Capdenac-Gare. Tennis : Capdenac s’en contentera

  • L’Anglais Marcus Willis (-15) a logiquement remporté son simple avant de devoir baisser pavillon en double avec Léo Cazor, hier à Capdenac.
    L’Anglais Marcus Willis (-15) a logiquement remporté son simple avant de devoir baisser pavillon en double avec Léo Cazor, hier à Capdenac. Archives CPA - Jean-Louis Bories
Publié le
Aurélien Parayre

Avec un succès, même court, face au dernier ce dimanche 22 mai pour le compte de la 4e et avant-dernière journée de National 4, les Capdenacois peuvent encore espérer en la montée en N3.

Le plus petit score possible pour un succès (4-2) ne dit pas que les Capdenacois n’ont pourtant pas tremblé ce dimanche, sur leurs courts extérieurs des berges du Lot, face à la lanterne rouge Saint-Georges-d’Orques. Car après avoir tourné à 3-1 après les simples, ils ont d’abord remporté le premier double avant de céder dans un second du coup plus du tout décisif. « C’est déjà très bien de s’être imposé, il y a eu un soulagement après le double victorieux, a réagi le capitaine Bruno Delfraissy, pas inquiet plus que ça du fait que le match-average du jour soit moins réjouissant : On s’en contentera.»


Une donnée néanmoins importante pour la suite puisque les Aveyronnais pointent à la deuxième place de leur poule de National 4 alors qu’il ne restera plus qu’une journée à disputer, ce dimanche. Juste un point derrière le leader marseillais de La Fourragère, qui était venu partager les points (3-3) en Aveyron le dimanche précédent.


Deux options pour la montée

 

Pour rappel, seuls les premiers de poule montent à l’étage supérieur en fin de saison… mais auxquels on ajoute tout de même les cinq meilleurs deuxièmes des 21 groupes de National 4. De quoi laisser espérer Mayron Riols et les siens en vue de faire l’ascenseur et ainsi retrouver le N3 une saison après l’avoir quittée (c’était en 2019, les interclubs 2020 et 2021 n’ayant pas eu lieu). « L’objectif sur ces deux derniers matches est de remporter les deux !, rappelait Delfraissy. La moitié du chemin est ainsi déjà faite. »

Deux options restent donc possibles pour les hommes du président Philippe Perrier. Option 1 : un succès à Chevreuse (sur dur) ce dimanche associé à un faux pas des Phocéens chez la réserve grenobloise qui jouera sa survie. Pas impossible. Option 2 : un large succès à Chevreuse permettant à Morgan Salvan et consorts de faire partie des deuxièmes de poule primés. Plus probable. « Quoi qu’il en soit, et si on parvient à s’imposer à Chevreuse, ce sera une belle saison, lors de laquelle on resterait en plus invaincu », tempère Bruno Delfraissy. Suspense garanti.

Voir les commentaires
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?