Ouest Aveyron : une nouvelle plateforme de livraison à domicile des courses arrive, voici les secteurs concernés

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  • La plateforme commencera son activité avec l’enseigne Intermarché.
    La plateforme commencera son activité avec l’enseigne Intermarché.
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Centre Presse Aveyron

La plateforme de cotransportage Shopopop arrive dans l’Ouest-Aveyron et veut s’y développer. En attendant le projet des commerçants locaux.

C’est un nouveau service de livraison de course qui fait son apparition à Villefranche. Après avoir été déployé dans plusieurs villes en France, la plateforme de cotransportage Shopopop débarque dans l’Ouest-Aveyron.

"Avec ce service, les clients du magasin Intermarché de Villefranche peuvent désormais se faire livrer leurs courses à l’adresse, au jour, et à l’heure de leur choix", indique la société.

"Récupérer les commandes dans un rayon de 20 km"

Son fonctionnement et sa stratégie se déclinent comme suit : "Dans un contexte de crise du pouvoir d’achat, cette solution de livraison à domicile permet à des livreurs particuliers (des cotransporteurs) de rendre service tout en optimisant leurs trajets du quotidien. Ils profitent de déplacements habituels (école, courses, travail, loisirs…) pour récupérer et livrer des commandes dans un rayon d’une vingtaine de kilomètres, en échange d’un pourboire (entre 5 et 9 € en moyenne par livraison, pour un complément de revenu mensuel d’une centaine d’euros). Ce service de livraison efficace, rapide et flexible permet d’atténuer le coût des déplacements incompressibles. Il est aujourd’hui disponible dans plus de 25 000 communes".

La société annonce qu’une dizaine de personnes se sont inscrites à cette plateforme. "À court terme, Shopopop compte y référencer de nouveaux magasins partenaires, dont des acteurs de la grande distribution et des commerces de proximité".

Pour rappel, les commerçants de la Bastide souhaitent aussi à leur niveau développer ce commerce de livraison dématérialisé. Lors de plusieurs réunions publiques, tous se sont accordés pour déployer des casiers de retrait en cœur de ville. "Attention, il faut que ces services soient gérés par les commerçants", avait souligné Béatrice Guy, vice-présidente de l’association Commerces en Bastide.

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