La Meilleure boulangerie de France : "Cette émission, elle sème les vocations", l'Aveyronnaise Noëmie Honiat resigne pour une deuxième saison

  • Noëmie Honiat repart sur les routes de France.
    Noëmie Honiat repart sur les routes de France. M6 - Benjamin Decoin
Publié le , mis à jour

On retrouve à partir de ce lundi 8 janvier, 18 h 30, sur M6, la cheffe pâtissière aveyronnaise Noëmie Honiat dans la saison 11 de "La Meilleure boulangerie de France".

Une chose est sûre, ils sont dans un sacré pétrin les trois membres du jury de "La Meilleure boulangerie de France". La tâche pour départager les artisans qui s’affrontent dans le concours culinaire s’annonce encore ardue.

A lire aussi : La Meilleure boulangerie de France : la cheffe aveyronnaise Noëmie Honiat et le chef toulousain Michel Sarran mettent la main à la pâte sur M6

La cheffe pâtissière mariée à l’Aveyronnais Quentin Bourdy, patron du Jacques a dit à Villefranche-de-Rouergue, n’a pas hésité une minute à resigner pour une deuxième saison.

Une émission qui met vraiment en valeur l'artisanat français

"C’est une émission qui met vraiment en valeur l’artisanat français, ce sont des gens vrais qui se lèvent le matin, qui se battent pour montrer leurs créations, pour régaler, sont heureux de faire plaisir. Ce sont des produits du quotidien. On parle de pains, de gâteaux, de snacking, lance-t-elle enthousiaste. L’émission s’adresse aux familles, aux personnes âgées, aux enfants, aux professionnels, car elle vient mettre en lumière le petit boulanger du coin, du village. On valorise le travail que font tous les jours ces chers boulangers, ces chers pâtissiers".

De vrais gens qui se lèvent le matin

Des professionnels qui y gagnent d’ailleurs en notoriété. Noëmie se souvient d’ailleurs d’un chef, l’an passé, qui, en produit phare, avait présenté un Paris-Brest. "À l’époque, il en faisait cinquante par semaine. Après l’émission, il est passé à 2 500 pièces par semaine. Autre exemple, un chef a pu embaucher, un autre obtenir son crédit à la banque. C’est un vrai tremplin ! On n’est pas là pour saquer".

C’est comme si j’étais en formation accélérée avec un meilleur ouvrier de France

En un an, l’Aveyronnaise qui partage sa vie entre le petit écran, son activité traiteur, ses livres, son mari et ses deux enfants est une touche-à-tout. "J’apprends comment on déguste du pain, les fermentations, c’est comme si j’étais en formation accélérée avec un meilleur ouvrier de France.

Cette émission, elle sème des vocations. Un jeune boulanger de 18 ans nous a dit, j’ai regardé l’émission, cela m’a donné envie d’embrasser la profession. J’ai fait mon stage de 3e, le fameux, ma formation et je me suis installé !"

L’émission est à voir du lundi au vendredi, sur M6, à 18 h 30.
Voir les commentaires
Sur le même sujet
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?